Je ne veux plus travailler : est-ce un burn out ?

20 Juil 2024

« Je ne veux plus travailler », « Je suis en burn-out », « Je n’arrive plus à me lever le matin », « Plus rien ne me motive dans mon travail », « Je ne sais pas à quoi je sers au quotidien », « Je ne sais pas combien de temps je pourrai encore tenir »…

Ces phrases, vous vous les prononcez intérieurement de plus en plus souvent. Vous ressentez une fatigue intense, une démotivation profonde, et vous vous demandez si c’est un burn-out. Le burn out, appelé officiellement par la Haute Autorité de Santé « épuisement professionnel », est malheureusement un syndrome de plus en plus fréquent. On estime qu’une personne sur 10 sera un jour touché par un burn-out durant sa carrière. Dans cet article, je vais m’attacher à vous délivrer :

  • des repères pour faire un point sur votre situation
  • des listes de symptômes pour savoir si vous êtes en burn out
  • des conseils et outils pour revenir vers le travail
  • des voies pour travailler sur l’établissement d’un épanouissement professionnel pérenne

Quels sont les symptômes du burn-out professionnel ?

Le burn-out se manifeste par une fatigue émotionnelle et physique extrême, un cynisme ou une dépersonnalisation par rapport au travail, et une baisse de l’accomplissement personnel. C’est la triade du burn out définie par Christina Maslach, l’une des premières à avoir théorisé le burn out. L’OMS répertorie un corpus de plus de 130 symptômes courants. Les plus fréquents sont notamment :

  • Troubles du sommeil
  • Maux de tête
  • Troubles gastro intestinaux
  • Problèmes dermatologiques
  • Infections à répétition
  • Douleurs musculaires ou articulaires
  • Difficulté de gestion des émotions (impatience, irritabilité, colère, pleurs et tristesse…)
  • Diminution de l’estime de soi
  • Difficultés cognitives, lenteur, procrastination

Le quotidien devient un fardeau, chaque tâche semble de plus en plus insurmontable. Et même les activités apparemment les plus simples deviennent source de stress et d’épuisement. Beaucoup des clients avec lesquels je travaille me reportent se sentir vidé, sans énergie, en perte de motivation en se disant « Je ne veux plus travailler, est-ce un burn-out ?« . Sans cet élan, tout devient pénible, laborieux, éreintant et chaque journée semble plus difficile à aborder que la précédente. En conséquence, le cercle vicieux s’installe. Et à lutter contre lui, on s’épuise un peu plus.  

Quelles sont les causes professionnelles du burn-out ?

Les causes professionnelles du burn-out sont multiples. Elles sont notamment répertoriées dans le Rapport Gollac. En effet, ce rapport commandé par une mission ministérielle il y a maintenant plus de dix ans identifie 6 grandes familles de risques :

  • L’intensité du travail : complexité du travail, pression temporelle, conciliation vie professionnelle / vie personnelle …
  • Les exigences émotionnelles : exposition à des situations de souffrance, de détresse, de colère, d’injustice…
  • L’autonomie : liberté dans le travail, monotonie des tâches, micro management, marge de manœuvre…
  • Les rapports sociaux et la reconnaissance : relations entre collègues, climat social, confiance, culture du feedback…
  • Les conflits de valeur : qualité empêchée, sur-engagement, manque de moyens, conflits étiques…
  • L’insécurité au travail : précarité, dangerosité du travail, instabilité organisationnelle ou économique…

Le manque de reconnaissance comme élément d’émergence du burn out professionnel

Christophe Dejours met en lumière dans ses travaux l’importance du risque lié au manque de reconnaissance dans l’émergence du burn-out. Ainsi, il souligne que la souffrance au travail est souvent liée à des conditions de travail toxiques et à une organisation du travail qui empêche les employés de trouver du sens à leurs tâches. N’hésitez pas à lire ces travaux qui, je le vois au quotidien, sont souvent une forme de réparation et de consolation pour de nombreuses personnes que j’accompagne qui se disent « je ne veux plus travailler, est-ce un burn-out? ».

Voici aussi un lien vers une conférence audio disponible sur Youtube.

Les environnements toxiques : terreau idéal pour l’apparition du burn-out

Les environnements de travail où règnent des relations tendues avec les supérieurs ou les collègues, avec une culture du conflit représentent un terreau idéal pour l’apparition du burn-out. En effet, ces conditions créent un climat de stress constant avec la mise en place d’une hypervigilance extrêmement coûteuse pour l’organisme. En conséquence, ’hormone du stress (le cortisol) est alors sécrétée dans des doses dangereuses pour l’organisme. De fait, celles-ci amènent petit à petit à des déséquilibres hormonaux, des baisses de l’immunité, des troubles organiques et des douleurs. De plus, cette hypervigilance s’accompagne aussi le plus souvent de troubles du sommeil qui ne font qu’accentuer le cercle vicieux. Et ainsi, il est possible de ce dire « je ne veux plus travailler, est-ce un burn-out? ».

Consulter le sommaire de l’enquête Sumer qui peut vous aider à mieux comprendre les risques psychosociaux.

Les facteurs de fragilité personnels qui augmentent le risque de burn-out ?

Aujourd’hui, il est reconnu que certaines caractéristiques personnelles augmentent la vulnérabilité au burn-out. Mais entendez-moi bien : en aucun cas, votre employeur ne peut vous blâmer d’avoir fait un burn out. Et cela, même si vous vous êtes surinvesti, plus que ce qui était demandé. En effet, l’employeur, via son obligation de sécurité (article L4121-1 du Code du travail) a pour obligation d’assurer, durant l’exercice de votre travail, votre sécurité physique et psychique.

Mais il est vrai que certaines situations peuvent augmenter le risque de déclencher un burn out. A cette question « Je ne veux plus travailler : est-ce un burn out ? », certains éléments de contexte peuvent apporter un éclairage sur la situation et augmenter les risques de décompensation :

  • Une nouvelle parentalité
  • Des problèmes de couple (qui sont aussi parfois déclenché par un hyper stress au travail – qui de l’œuf ou de la poule ?)
  • Un parent ou famille en situation de dépendance
  • Une maladie
  • Des problèmes financiers
  • Un TDAH, HPI et TSA

En effet, les neuroatypismes tels que le TDA/H, le HPI, le TSA et l’hypersensibilité augmentent également les risques de burn-out. Je le vois chaque jour en séance. Et oui, beaucoup de mes clients présentent certains ou plusieurs de ces neuroatypismes et se pose la question « Je ne veux plus travailler : est-ce un burn out ? ». Or s’adapter en open space quand on souffre d’un TSA, gérer l’émotion de parents d’un enfant cancéreux quand on est hypersensible peut devenir un calvaire au quotidien.

Ainsi, ces spécificités neurocognitives peuvent rendre certains travaillent plus vulnérables au stress et à l’épuisement professionnel. Et donc, augmenter les chances de se retrouver à penser « Je ne veux plus travailler : est-ce un burn out ? ».

Comprendre ses besoins pour éviter ou sortir du burn out

Penser « je ne veux plus travailler : est-ce un burn out ? » peut être un signal d’alarme indiquant un burn-out. Dans ces situations, je travaille avec mes clients sur l’identification de leurs besoins en profondeur. Lister les conditions qui permettront de se respecter au quotidien sur le plan physique, psychologique, émotionnel, éthique est essentiel pour pouvoir maintenir un équilibre pérenne. Ce travail essentiel peut être fait en séance individuelle ou via mon programme Sortir du burn out et ne pas rechuter. Ce programme contient un livret de travail dédié à ce travail sur les besoins qui vous permettra de faire l’inventaire des besoins essentiels à respecter au quotidien pour retrouver santé et équilibre. 

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Conclusion sur l’étiologie (causalité) du burn out

En conclusion sur cette partie, penser « je ne veux plus travailler : est-ce un burn out ? » peut être un signal d’alarme indiquant un burn-out. Mais, il est essentiel de reconnaître ces facteurs personnels pour mettre en place des stratégies de prévention adaptées. Parfois, on ignore certaines facettes de notre fonctionnement. Comme par exemple le fait d’être HPI. Oui, beaucoup d’adultes le découvrent un peu tard. Ils comprennent alors mieux leur fonctionnement et leurs besoins. Mais en reste souvent un goût amère par rapport à leur histoire de vie personnelle et toutes les adaptation et ajustements qu’ils ont dû déployer pour renter dans les cases. Une suradaptation est souvent coûteuse sur le plan physique et émotionnel.

Le travail est devenu insupportable : « je ne veux plus travailler, est-ce un burn-out ? »

Les signes à écouter au travail

Si vous pensez souvent « je ne veux plus travailler, est-ce un burn-out? » et que votre travail devient insupportable au quotidien, essayez d’identifier certains signes qui devraient vous alerter sur un possible burn-out :

  • Une baisse de motivation
  • De la procrastination
  • Des erreurs plus fréquentes
  • Une irritabilité et une impatience accrues
  • Un isolement progressif
  • Des conflits interpersonnels avec les collègues ou la hiérarchie
  • Plus de temps pour réaliser certaines tâches
  • Des oublis
  • Un manque de concentration
  • Des stratégies d’évitement pour se soustraire à certaines tâches ou personnes
  • Des maux de tête ou douleurs dès l’entrée dans une tâche ou même dés l’ouverture de l’ordinateur

Les conséquences sur la vie personnelle

Cela semble commencer par penser « je ne veux plus travailler : est-ce un burn out ? » mais l’engrenage se met souvent en place de façon insidieuse, lente. En effet, la plupart du temps, on ne s’en rend pas compte tout de suite, mais le burn-out affecte en profondeur la vie personnelle. Ainsi, les troubles du sommeil deviennent fréquents, accompagnés souvent d’une diminution ou d’un regain d’appétit. Très souvent, on constate aussi une perte d’intérêt pour les activités qui étaient avant appréciées. Les comportements d’isolement social augmentent, et les relations familiales se détériorent.

La fatigue chronique et l’épuisement émotionnel nuisent à la capacité de profiter des moments passés avec les proches. De plus, les tensions familiales peuvent s’accroître, et le soutien social s’effriter, exacerbant encore plus le sentiment de détresse. Malheureusement, il n’est pas rare que des séparations ou divorces interviennent dans les mois ou années qui suivent directement un burn out.

Voici un ouvrage que je recommande pour lutter contre la fatigue chronique Je suis épuisé de Cathy Assenheim

De nombreux articles indiquent que le burn-out peut mener à des problèmes de santé mentale tels que la dépression et l’anxiété. Et je le constate chaque jour dans ma consultation. Notamment avec les troubles anxieux généralisés qui ont connu une véritable explosion notamment depuis le covid. Par ailleurs, on peut citer une étude de 2016 publiée dans le « Journal of Clinical Psychology » qui a mis en avant une forte corrélation entre le burn-out et les symptômes dépressifs. Ainsi, ces éléments ne font que pointer l’importance de réagir vite (en s’extrayant rapidement de son travail via un arrêt ou une rupture de contrat) et de se faire accompagner dès que vous vous poser la question « je ne veux plus travailler, est-ce un burn-out ? »

Quelles stratégies pour retrouver l’épanouissement professionnel ?

Faire un diagnostic poussé de la situation avant d’envisager une reprise

Avant de reprendre le travail après un burn-out, il est crucial de réaliser un diagnostic approfondi de la situation professionnelle et personnelle. En effet, trop souvent, le travail est pointé comme le seul responsable alors que la causalité peut être plus complexe. Ainsi, plus que le travail, ce sont parfois les conditions de travail qui sont la cause de la décompensation. Il faut donc bien faire la différence entre vos missions au quotidien et les conditions dans lesquelles vous les exercez. Se faire accompagner par un spécialiste du burn out qui connaît parfaitement ce syndrome est ici indispensable. Malheureusement, trop souvent, je reçois au soin de ma consultation des personnes qui se sont reconverties trop vite ou ont négocié sans bien y réfléchir une rupture. Ces personnes en ressortent parfois précarisées, affaiblies, leurs confiances en elles écornées.

D’ailleurs, dans mon programme Sortir du burn out et éviter les rechutes, je propose un outil diagnostic qui permet d’identifier avec précisions les causes du burn out : conditions de travail, sujets, tâches, outils, environnement social…

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Des éléments de réponse avec le bilan de compétences

Un bilan de compétences peut aider identifier les domaines les plus susceptibles de vous épanouir sur le long terme. C’est l’occasion de retrouver équilibre et alignement. De plus, un bilan de compétences mené par un spécialiste du burn out peut également aider à redécouvrir des motivations et des talents oubliés. De jolies pistes qui permettent d’offrir de nouvelles perspectives professionnelles.

Une étude de 2018 dans le « Journal of Career Assessment » a montré que les employés qui réalignent leurs carrières après un burn-out éprouvent une augmentation significative de leur satisfaction et de leur engagement dans leur travail. Dans une époque où on sera désormais constamment amenés à se réinventer professionnellement et à changer de travail plusieurs fois dans une vie, le bilan de compétences est une étape clé. Je ne peux que le recommander après avoir été la témoin de très belles histoires de reconversion parmi ma clientèle.

Le bilan de compétences permet également d’identifier les environnements de travail qui correspondent mieux aux valeurs et aux préférences personnelles, réduisant ainsi le risque de burn-out futur. Cela vous évitera d’avoir encore à vous poser la question « je ne veux plus travailler, est-ce un burn-out ? ». En conclusion, c’est un travail qui s’inscrit dans le cadre de l’étude des besoins et des valeurs et qui est une condition essentielle de la guérison et de la prévention de la rechute.

La mobilité professionnelle, une solution au burn-out ?

Quand on a du mal à y voir clair ou qu’on n’a pas le temps ou les moyens d’être tout de suite accompagné, la mobilité professionnelle peut être une solution. Qu’elle soit interne ou externe, elle peut aussi être une ressource clé pour sortir du burn-out rapidement. En conséquence, changer de poste, de département ou de responsable peut offrir un nouvel environnement moins stressant et plus en adéquation avec les besoins et les valeurs personnelles.

Des études récentes ont établi de façon significative que les personnes qui changent d’environnement de travail après un burn-out ressentent une réduction significative du stress et une amélioration de leur satisfaction professionnelle (Bakker & Costa, 2014).

La rupture conventionnelle, la solution ultime au burn-out ?

Dans certains cas, une rupture conventionnelle peut être envisagée comme une solution ultime pour mettre fin à une situation professionnelle intenable et vous aider lorsque vous n’arrêtez pas de vous dire « je ne veux plus travailler, est-ce un burn-out ? ». Mais attention ! En séance avec mes clients, j’insiste avec force sur le fait que cette démarche doit être bien réfléchie. Je recommande de se faire accompagner d’un soutien psychologique et juridique si nécessaire tout au long de ce processus.

En effet, c’est essentiel pour préparer la transition vers de nouvelles opportunités professionnelles et aussi pour défendre au mieux ses droits. De fait, si vous êtes intéressés, je propose une fiche de questions / réponses conçue avec des avocats en droit du travail sur Comment quitter son travail avec le chômage. Ce livret vous permettra d’identifier le meilleur dispositif de rupture ou de négociation de fin de contrat selon votre situation. Et non, il n’y a pas que la rupture conventionnelle. D’autres modalités parfois plus rapides et moins conflictuelles existent.

Dans tous les cas, il est parfois préférable de partir pour reprendre son souffle. Souvent, couper avec son employeur permet de faire un reboot. C’est l’occasion de prendre du recul, de prendre le temps de prendre soin de sa santé notamment. En bref, l’idéal pour reprendre pied et s’assurer de guérir plus vite et d’éviter toute rechute.

Et la suite après un burn-out : ne pas rechuter !

Burn-out et accompagnement par un coach

Les rechutes sont malheureusement extrêmement fréquentes (environ 40% et plus d’après les dernières études post covid). Néanmoins, on constate que ces rechutes sont plus fréquentes quand la personne n’a pas été accompagnée durant son burn out. En effet, prendre le temps de travailler sur soi, de mettre le doigt sur les causes qui ont provoqué la bascule est essentiel. Sans ce travail, comment repenser ses schémas, ses façons de travailler et ses conditions de travail ? Sans ce travail essentiel avec un coach spécialiste du burn out, comment mettre le doigt sur les facteurs pathogènes pour soi ?

De plus, les TCC et le coaching permettent de développer des stratégies pour apprendre à :

  • mieux gérer le stress
  • améliorer son organisation du travail
  • apprendre à mettre des limites

Autant de sujets cruciaux pour se protéger et développer sa résilience au quotidien face à un marché du travail de plus en plus broyant. Au-delà de stratégies de résilience en matière de gestion du stress, le coaching peut permettre de reconstruire de façon pragmatique un meilleur équilibre de vie pro / perso.

Le programme pour sortir du burn-out et ne pas rechuter

Éviter le burn out quand on en est proche ou mettre en place une guérison quand on est passé à travers ce syndrome réclame de l’engagement et du travail. En effet, prendre le temps de réfléchir sur soi, réviser ses habitudes, challenger ses schémas et croyances est fondamental. Adopter une paire de lunettes réalistes sur son hygiène de vie constitue une autre étape essentielle. Si vous vous posez la question « Je ne veux plus travailler, est-ce un burn-out » est déjà une première étape. De plus, prendre le temps de faire le point sur ses valeurs, ses besoins passe par un travail d’introspection exigeant et en responsabilité.

C’est un chemin qui doit respecter certaines étapes clés. Il ne faut pas brusquer les choses, mais il ne faut pas non plus éluder des dimensions clés du travail, même si elles sont parfois inconfortables ou douloureuses.

Focus sur le programme Sortir du burn out pour répondre à la question « je ne veux plus travailler, est-ce un burn-out ? »

Après plusieurs années d’accompagnements, j’ai souhaité délivrer au sein d’un parcours complet ces outils, techniques et conseils qui ont déjà aidés des centaines de clients. Ce programme est disponible en ligne et comporte notamment 8 livrets de travail correspondants à 8 étapes clés du travail :

  1. Comprendre ce qu’est le burn-out et faire le point sur son état
  2. Déculpabiliser : non ce BO n’est pas votre faute !
  3. S’occuper de son corps pour sortir de la crise
  4. Se reconnecter à soi pour mieux répondre à ses besoins
  5. Reprendre confiance en soi et en la vie
  6. Mieux se connaître pour ne pas rechuter
  7. S’outiller pour être plus fort au quotidien
  8. Envisager une reprise professionnelle

A la fin de chaque étape, une séance d’hypnose et de méditation guidée audio est proposée pour permettre un ancrage en profondeur.

Ce programme s’accompagne aussi de deux tests diagnostics conçus en partenariat avec des médecin et chercheurs en neurosciences. Ils sont en cours d’homologation auprès d’instances officielles de santé ! Un projet qui me galvanise et donne encore plus de sens au projet que j’ai construit avec mon équipe.

Enfin, ce programme met à votre disposition gratuitement le pack des 6 fiches pratiques quand on est en arrêt :

  • Arrêt de travail et burn out
  • Visite de contrôle arrêt maladie
  • Burn out et reconnaissance de maladie professionnel
  • Burn out : qui consulter pour quelle prise en charge médicale ou paramédicale ?
  • Arrêt maladie et maintien de salaire
  • Burn out : quitter son emploi

Parcours interdisciplinaire conçu avec des médecins, des psychologues, des consultants en risques psychosociaux et des avocats.

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Équilibre vie professionnelle / vie personnelle

Pour éviter le burn-out, il est essentiel de retrouver un équilibre entre vie professionnelle / vie personnelle. C’est le travail qu’un coach peut vous aider à faire via de l’analyse d’agenda, des outils d’organisation hebdomadaires et journaliers, des visions boards… De nombreuses techniques existent mais elles doivent toujours être adaptées en sur-mesure à votre problématique et à votre façon naturelle de fonctionner.

En conclusion, vous l’aurez compris, penser « je ne veux plus travailler : est-ce un burn out ? » peut être un signal d’alarme indiquant un burn-out. Il faut l’écouter ? Dans cet article, j’ai souhaité vous lister tous les signes et symptômes auxquels être vigilant afin de réagir au bon moment. En effet, un burn out qui connaît sa phase de bascule peut avoir de graves conséquences pour votre santé. Il est donc essentiel de réagir vite et de façon adaptée. De savoir faire face à la réalité, d’affronter le constat que ça ne va plus. Il faut réagir. J’espère vous avoir livré via ce grand nombre de pistes et solutions une voie qui vous conviendra et vous aidera à sortir de cet engrenage à la mécanique broyante.

Je suis coach et formatrice et je vous aide à surmonter des épreuves et challenges professionnels

Emmanuelle Wyart Coach Formatrice épanouissement professionnel

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